Actualités, projets, offres, clins d’œil,
opportunités, pensées…
La communauté Beaumier vit, à plein.
Et si nous partagions nos émotions ?
Transmettez-nous votre email,
recevez notre newsletter et restons liés !
Actualités, projets, offres, clins d’œil, opportunités, pensées… La communauté Beaumier vit, à plein. Et si nous partagions nos émotions ? Transmettez-nous votre email, recevez notre newsletter et restons liés !
{{responseMessage}}
L’instant prime.
Noël Berard et Mathieu Guivarch l’ont bien compris.
Pour Capelongue, les deux chefs mitonnent minute les plus beaux produits des environs, avec une spontanéité touchante.
De la terre à l’assiette, en somme, et en trois façons : ciselées et contemporaines, à La Bastide ; au feu de bois et en partage, à la toute nouvelle Bergerie ; à tiroirs, à longueur d’après-midi, au Café Capelongue.
L’instant prime. Noël Berard et Mathieu Guivarch l’ont bien compris. Pour Capelongue, les deux chefs mitonnent minute les plus beaux produits des environs, avec une spontanéité touchante. De la terre à l’assiette, en somme, et en trois façons : ciselées et contemporaines, à La Bastide ; au feu de bois et en partage, à la toute nouvelle Bergerie ; à tiroirs, à longueur d’après-midi, au Café Capelongue.
Noël Bérard creuse son sillon : celui d’un registre gastronomique de l’instant, sur le terroir, avec une vivacité et une profondeur saisissantes. Au céleri croquant ses copeaux de truffe noire de Méthamis et sauce blanquette végétale, à la pièce d’agneau de Sisteron grillée au miel de lavande ses carottes à la poutargue, au chocolat en texture et olives confites leur glace d’olive noire de Nyons… Éclairant.
Un séjour réservé à l’hôtel ne garantit pas de place au restaurant étoilé.
Réaménagé, agrandi, le restaurant de cuisine au feu de bois de Mathieu Guivarch renait. Sa cheminée centrale en tête. L’âtre dessert une vaste salle ouverte et une large terrasse. Partout, Bonnieux, s’offre en grand, d’un regard. À coups de pièces de partage saisies minute, la carte suit : pagre de Méditerranée, gigot d’agneau de Sisteron, carré de cochon du Mont Ventoux... Conviviale à souhait.
Un lieu de vie, à longueur d’après-midi, au gré de vos allers et venues et des petites assiettes, à partager ou pas, qui défilent là. Des légumes confits, beignets de fleurs de courgette, salaison de ventrèche de thon rouge, tomme de chèvre au pistou…, qu’accompagne, entre autres, une longue carte de pastis. Plaisant, assurément.
En bout de table de La Bergerie, le village de Bonnieux. Dessus, de 7h30 à 10h30, au gré de vos envies et des préparations maison : des cafés de spécialité, des confitures, du granola, de la brioche, des œufs brouillés, un assortiment de fromages de chèvre, de la truite fumée… En pointillés, le meilleur de la région, de Sault à Goult en passant par l’Isle-sur-la-Sorgue, et une attention de tous les instants. Pour les résidents de l’hôtel comme nos hôtes de passage, la journée commence bien, assurément.
« Plus de spontanéité s’impose. D’ouverture aussi. Je ne parle pas de fusion bien sûr, mais de "gourmandises décalées". »
Le parcours de Noël Bérard, entre grandes maisons de l’Hexagone et tables en vue d’ailleurs, a forgé une cuisine de son temps, à la fois enracinée et à l’écoute.
« Plus de spontanéité s’impose. D’ouverture aussi. Je ne parle pas de fusion bien sûr, mais de "gourmandises décalées". »
Le parcours de Noël Bérard, entre grandes maisons de l’Hexagone et tables en vue d’ailleurs, a forgé une cuisine de son temps, à la fois enracinée et à l’écoute.
